Le problème des violences conjugales est assez grave pour que les États, les gouvernements et les associations s’accordent pour y remédier. Pour la combattre il convient de mettre en place non seulement des lois punitives, mais encore de donner des chances aux diverses sociétés avec leur religion et leur croyance d’intervenir. Par exemple, dans la société juive, le problème des violences physiques ou psychologiques est souvent lié à la difficulté d’obtenir parfois le guet (divorce religieux).
Dans la société juive française, qu’est-ce qui retient la femme ou l'(homme) de porter plainte pourquoi ce silence qui a tous les caractères d’un tabou ?
A cause de la révolte que ces situations de détresse provoquent auprès des deux associations féminines la COOPÉRATION FÉMININE et la WIZO, leurs adhérentes ont uni leurs compétences pour combattre ce fléau qui, nous le savons bien, sévit dans un silence assourdissant. Très vite s’est imposée la nécessité d’associer à notre combat l’essentiel des éléments constitutifs de notre communauté pour signer la charte qui régit les objectifs de l’association.
Avec la création de l’association « NOA, oser le dire », en 2007, nous énonçons plusieurs messages :